Petit Natan, que je vais emmener au salon, sera l’emblème de mon message : il y a des chiens qui n’ont pas de chance.
Si Natan était né au printemps, il n’aurait pas eu froid.
Si j’avais mis sur le parquet une couverture bien calée, il n’aurait pas dérapé.
Je me suis battu toute ma vie pour donner une chance à tous. Et Natan me donne encore plus envie de continuer.
Je le répète en permanence, l’important, ce n’est pas la performance que le chien fait. C’est l’envie de réaliser une performance avec l’homme. C’est la communion entre l’homme et le chien.